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DES ACTIVITES DIVERSES

 

 

 

Tous les lundis soirs, à la Chapelle St Aubin, des activités se succèderont : sophrologie, groupe de parole, Do In, Activité physique, conférences, réunions avec intervenants.

 

A Compter du 26 mai , les séances de Gym sont

remplacéees par une découverte des

parcs et Jardins du Mans .

Allions  l'activité physique au plaisir des yeux .. Rendez vous  pour tous  !

Le 29 mai  : Jardin des Plantes, rue Notre Dame Le Mans, nous nous retrouverons pres du pont de bois à 15h30

Le 9 juin  : Rendez vous  à L'arche de la Nature , le Mans à 15h30 .

Le 24 juin: Balade en soirée au Gué Maulny  Rv à 20h sur le parking de l'église st Bertrand derriere la gare sud .

 

et pour finir l'année : Rendez vous à la Salle des tribunes  du stage de foot de la Chapelle St aubin le 7 juillet à  19h pour une soirée détente . Amener votre pique nique...

 

AQUAGYM : 

 En cours de Négociation avec la ville du Mans . Nous vous tiendrons informés sur ce site.

 

VIDE DRESSING :

 

Prochain Vide Dressing cet Automne , le 11 Octobre 2014 .  

Appel aux Dons : Un petit geste pour aider l'association.

Donnez nous vos vêtements trop grands ou trop petits....

ainsi nous pourrons proposer à tous des vêtements

à la bonne taille.

 

 

DES RENCONTRES

 

Nous organisons des randonnées, des conférences, des repas, des réunions afin d'échanger entre nous et de rencontrer des professionnels

 


 

 

 

La chirurgie de l'obésité en plein boom 

( article extrait de www. metrofranc.com 22/02/2013)

SANTE - La chirurgie de l'obésité est en plein essor en France, où le nombre d'interventions a doublé en 5 ans, selon l'Assurance maladie qui note une progression de techniques plus invasives mais également plus contraignantes.

Anneau gastrique, by-pass, sleeve gastrectomie... la chirurgie bariatrique également appelée chirurgie de l'obésité n'a jamais été aussi pratiquée en France. Dans le cadre du "Plan national de lutte contre l’obésité 2010-2013", l'Assurance maladie fait état de plus de 30.000 patients en 2011, contre 15.000 cinq ans auparavant. Une augmentation qui va de pair avec celle du nombre d'obèse : 7 millions de personnes, soit 15% de la population souffre d'obésité ou de surpoids.

 

"L'obésité est devenu un véritable problème de santé publique en France, explique à Metro le docteur Salomon Benchetrit de la Société française et francophone de chirurgie de l’obésité (Soffco). Près de 550.000 personnes ont même une obésité morbide. Aujourd'hui elle est traitée comme une maladie chronique. Mais la chirurgie, peu importe l'opération choisie, doit toujours être l'aboutissement d'un travail en amont après 6 mois de traitement médical bien conduit".

 L'anneau gastrique de plus en plus délaissé

 Selon les recommandations de la Haute Autorité de Santé émises en 2009, ce type de chirurgie concerne des personnes dont l'Indice de Masse Corporelle (IMC) est supérieur ou égal à 40, ou à 35 en cas d'autres pathologies associées (hypertension, diabète...). "Ces pratiques sont beaucoup mieux encadrées actuellement qu'il y a 15 ans : 37 centres médicaux sont labellisés par l'État. De plus, une prise en charge médicale, nutritionnelle et psychologique est obligatoire", souligne à Metro Anne-Sophie Joly, présidente du Collectif National des Associations d'Obèses.

En outre, l'étude souligne le recul des techniques réversibles au profit d'opérations plus invasives : en tête des interventions en 2006, l'anneau gastrique ne représente plus qu'un quart des choix en 2011. Le by-pass (qui court-circuite en grande partie l'estomac) et surtout la sleeve gastrectomie (réduction définitive du volume de l'estomac) représentent quand à eux les trois quarts des interventions. Or, ces dernières imposent entre autres le suivi du patient et la prise de compléments vitaminés à vie.

"Il faut que l'Etat continue son travail"  "Ces techniques sont efficaces, y compris pour diminuer des co-morbidités comme le diabète", note Frédéric van Roekeghem, directeur de la caisse nationale de l'Assurance maladie (Cnam). "Mais pourquoi ne pas commencer par une intervention réversible, pourquoi aller directement à des interventions lourdes comme on le voit dans certaines régions", demande-t-il se déclarant partisan de "faire émerger un consensus sur les indications à privilégier".

 "Pendant de nombreuses années l'anneau gastrique a été privilégié. Mais aujourd'hui chaque technique est choisie en fonction du patient, de son mode de vie alimentaire, de ses antécédents familiaux ou encore de son milieu socio-professionnel", précise Salomon Benchetrit. "Depuis les recommandations de la HAS de 2009, les médecins sont dans l'obligation de faire part au patient des trois techniques possibles. Mais ce que souligne surtout ce rapport c'est que dans un an le plan obésité prend fin. Il faut que l'Etat pérennise le travail qui a été fait", conclut Anne-Sophie Joly

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